Colos Apprenantes – « Vivement les prochaines vacances » !

02 novembre 2020

Plus d’une centaine de jeunes Stanois ont profité des séjours organisés par la ville lors de la pause scolaire de la Toussaint.

Séquence souvenirs et retrouvailles de retour du château de Villiers-sur-Loir…

Des petites larmes qui coulent de-ci, de-là, de grandes embrassades, des valises qui se font la malle devant le coffre d’un car… Voilà en quelques mots, le descriptif heureux d’un des retours des séjours de vacances au château de Villiers-sur-loir, samedi 24 octobre devant l’Espace Angela-Davis.

Ce soir-là, une cinquantaine de jeunes Stanois reviennent avec la « banane » sur le visage après une semaine d’activités concoctées par
les équipes du Pôle Enfance-Jeunesse- Éducation de la ville. « C’était super, sourit Lyanna, 6 ans, du haut de sa première « colo ». Surtout la
soirée où on a grillé des chamallows au feu de bois. Vivement, les prochaines vacances ! »

 

Des activités que sa maman Léa a suivies au jour-le-jour sur le blog consacré au séjour d’une semaine au sein du plus ancien centre de
vacances de Stains, propriétaire du site du XVIIIe et de ses 24 hectares de verdure depuis 1947. « C’est une chance pour ma fille et mon fils de se retrouver dans un si bel endroit, ça va leur faire de super souvenirs. J’avais un peu peur de les laisser partir, mais tout s’est bien passé », respire Léa à la sortie du car.

Même joie partagée pour Hayat et Adil, les parents de Zakaria et Mehdi, respectivement 10 et 7 ans. « C’est bien qu’ils partent sans papa et maman, ça les fait grandir, sourit la maman Hayat, mais c’est aussi très bien de les retrouver, enfin ! »

Un bol d’air dans le Cher qui a aussi charmé Sihem, la directrice-adjointe du centre de Villiers : « Quand les enfants adorent, on adore aussi,
résume-t-elle. La semaine est passée très vite entre initiation au poney, séances de magie, ateliers jeux à profusion. Personne n’a eu le temps de s’ennuyer… »

Toute la philosophie des « vacances pour tous » portée par la ville de Stains qui permet chaque année et encore plus depuis la crise sanitaire à des centaines enfants de se mettre, eux aussi, en mode « vacances, j’oublie tout ! ».

• FRED LAURENT